Un Environnement Économique en Pleine Expansion

Le Maroc, avec son économie en croissance constante, devient un hub incontournable pour les études en management. Les écoles de management y jouent un rôle clé dans la formation des futurs leaders.

Le Classement 2025 : Une Méthodologie Rigoureuse

Notre sélection repose sur des critères stricts :

  • Excellence académique
  • Insertion professionnelle
  • Partenariats internationaux
  • Recherche et innovation

Les Top Écoles de Management au Maroc

1. HEC Maroc

Présente à Casablanca, HEC Maroc offre des programmes de haut niveau, alliant théorie et pratique. Son partenariat avec HEC Paris est un atout majeur.

2. ISCAE

Avec des campus à Rabat et Casablanca, l’ISCAE est reconnue pour ses formations en gestion publique et privée. Son réseau de diplômés est particulièrement actif.

3. Université Al Akhawayn

Située à Ifrane, cette université bilingue (anglais et français) propose des programmes innovants en management, attirant des étudiants du monde entier.

4. ESCA

À Casablanca, l’ESCA se distingue par ses programmes en marketing et finance. Son approche pratique et ses liens avec le monde des entreprises sont appréciés.

5. Université Internationale de Casablanca

Cette université propose des cursus adaptés aux besoins du marché, avec un focus sur l’innovation et l’entrepreneuriat.

ÉcoleLocationSite Web
HEC MarocCasablancawww.hec.ma
ISCAERabat, Casablancawww.iscae.ma
Université Al AkhawaynIfranewww.aui.ma
ESCACasablancawww.esca.ma
Université Internationale de CasablancaCasablancawww.uic.ma

Les Atouts des Écoles de Management Marocaines

Ces écoles offrent :

  • Des programmes internationaux reconnus
  • Un réseau alumni puissant
  • Des partenariats avec des entreprises de renom

Comment Choisir la Bonne École ?

Considérez :

  • Votre lieu de résidence
  • Vos domaines d’intérêt
  • Les opportunités de stage et d’emploi
  • La vie étudiante

Le Futur du Management au Maroc

Les tendances incluent la digitalisation, la durabilité et la mondialisation, offrant aux diplômés des perspectives prometteuses.

Blockchain et Cryptomonnaies au Maroc : Une Révolution Numérique en Marche

Qu’est-ce que la Blockchain et les Cryptomonnaies ?

La blockchain est une technologie de stockage et de transmission d’informations dans un registre numérique, appelé « bloc », sécurisé et décentralisé. Chaque bloc est connecté de manière cryptographique, formant ainsi une chaîne (blockchain), rendant les données impossibles à modifier sans trace.

Les Cryptomonnaies : Plus qu’une Monnaie

Les cryptomonnaies, comme le Bitcoin ou l’Ethereum, sont des devises numériques utilisant la technologie blockchain. Elles offrent une alternative aux monnaies traditionnelles, avec des avantages tels que la transparence, la sécurité et la décentralisation.

Le Potentiel de la Blockchain au Maroc

Le Maroc, avec son économie diversifiée et son ouverture aux technologies, est un terrain fertile pour l’adoption de la blockchain et des cryptomonnaies.

1. Une Économie Numérique en Expansion

L’adoption croissante des technologies numériques au Maroc crée un environnement propice à l’innovation. Les startups marocaines, soutenues par des incubateurs et des accélérateurs, explorent des applications variées de la blockchain.

2. Des Secteurs Stratégiques à Transformer

  • Finance : Les institutions financières marocaines explorent la blockchain pour améliorer la sécurité et l’efficacité des transactions.
  • Supply Chain : La traçabilité des produits, de la production à la distribution, peut être optimisée grâce à la blockchain.
  • Immobilier : La technologie peut fluidifier les transactions immobilières en réduisant les intermédiaires.

Les Défis de l’Adoption

Malgré le potentiel, l’adoption de ces technologies au Maroc fait face à plusieurs obstacles.

1. Un Cadre Légal en Développement

Le cadre réglementaire des cryptomonnaies au Maroc est encore en phase d’élaboration. La Banque Centrale du Maroc (BAM) étudie actuellement la mise en place d’un cadre pour encadrer l’utilisation des cryptomonnaies, tout en veillant à la sécurité des transactions et à la lutte contre le blanchiment d’argent.

2. La Sécurité des Transactions

La sécurité est un enjeu majeur. Les pirates utilisent des techniques de plus en plus sophistiquées pour s’attaquer aux portefeuilles numériques et aux plateformes d’échange.

3. La Perception des Cryptomonnaies

Le manque de connaissance et de confiance envers les cryptomonnaies freine leur adoption. De nombreuses personnes restent sceptiques quant à leur utilité et à leur stabilité à long terme.

DéfisImpactSolutions
Cadre légalIncertain, freine l’innovationRéglementation claire
SécuritéVulnérabilité aux attaquesProtocoles de sécurité renforcés
PerceptionManque de confianceÉducation et sensibilisation

Des Exemples Concrets au Maroc

Le Maroc compte déjà plusieurs initiatives et projets liés à la blockchain et aux cryptomonnaies.

1. Les Plateformes d’Échange

Des plateformes comme « Moroccoin » ou « CryptoMaroc » proposent des services d’achat et de vente de cryptomonnaies, adaptés au marché local.

2. Les Projets de Startups

Certaines startups marocaines développent des solutions basées sur la blockchain pour des secteurs comme l’agriculture ou le tourisme.

3. Les Initiatives Gouvernementales

Le gouvernement marocain a lancé des initiatives pour explorer les possibilités de la blockchain dans des domaines comme la gestion des données publiques et la sécurité.

InitiativeSecteurImpact
MoroccoinFinanceFacilite l’accès aux cryptomonnaies
CryptoMarocFinanceÉducation et services de trading
Ministère de l’ÉconomieGouvernementExploration de la blockchain pour les données publiques

Conclusion : L’Avenir de la Blockchain au Maroc

L’avenir de la blockchain et des cryptomonnaies au Maroc semble prometteur. Avec un cadre légal en développement, des initiatives locales innovantes et une population de plus en plus connectée, le Maroc pourrait devenir un acteur clé dans l’écosystème blockchain en Afrique et au Moyen-Orient.

Reste à voir comment les différentes parties prenantes vont collaborer pour maximiser les opportunités tout en minimisant les risques. Mais une chose est sûre : la révolution numérique est en marche, et le Maroc est prêt à en profiter.

Dans un monde de plus en plus connecté et digitalisé, le marketing est devenu une discipline incontournable. Au Maroc, l’évolution des marchés locaux et internationaux impose une adaptation constante des stratégies et des compétences. Cet article explore le paysage de la formation en marketing dans le Royaume, en mettant l’accent sur ses spécificités, ses défis et ses opportunités.

1. L’importance croissante du marketing au Maroc

Le Maroc, en tant que hub économique régional, voit croître la demande en professionnels qualifiés dans le domaine du marketing. Les secteurs-clés tels que le tourisme, l’agroalimentaire, l’automobile et les nouvelles technologies adoptent des stratégies marketing de plus en plus sophistiquées.

Selon une étude publiée en 2023 par l’Haut-Commissariat au Plan (HCP), le secteur des services représente plus de 50 % du PIB national, ce qui souligne l’importance du marketing dans l’économie marocaine. Les entreprises cherchent donc des profils capables de gérer des campagnes publicitaires, de maîtriser les outils digitaux et d’analyser les comportements des consommateurs.

2. Les types de formations en marketing disponibles

Au Maroc, les formations en marketing sont variées et couvrent un large éventail de besoins :

a) Formations académiques

Les universités publiques et privées offrent des diplômes en marketing et en gestion. Par exemple :

  • L’Université Hassan II de Casablanca propose un Master en Marketing et Action Commerciale, qui combine théorie et pratique pour préparer les étudiants aux défis du marché.
  • L’Université Al Akhawayn à Ifrane offre des programmes en marketing orientés vers l’analyse des données et la stratégie digitale.

b) Formations professionnelles

Les centres de formation professionnelle comme l’OFPPT ont intégré des modules en marketing digital pour répondre à la demande croissante des entreprises.

c) Formations en ligne

Avec l’essor des plateformes comme Coursera, Udemy ou encore les initiatives locales comme Shems Academy, de nombreux professionnels marocains accèdent à des certifications internationales. Ces formations permettent une flexibilité qui attire aussi bien les étudiants que les cadres en reconversion.

3. Focus sur le marketing digital : un tournant majeur

Le marketing digital occupe une place de choix dans la formation marketing au Maroc. Avec plus de 31 millions d’utilisateurs Internet recensés en 2023 (source : Hootsuite et We Are Social), les entreprises marocaines investissent massivement dans les stratégies digitales.

a) Les compétences les plus recherchées

Les recruteurs mettent l’accent sur des compétences techniques comme :

  • La maîtrise des réseaux sociaux (Facebook, Instagram, LinkedIn).
  • L’utilisation d’outils d’analyse comme Google Analytics et SEMrush.
  • La création de contenu optimisé pour le SEO.

b) Exemple pratique : le succès d’une startup marocaine

Prenons l’exemple de Chari.ma, une startup spécialisée dans la distribution de produits de grande consommation. Grâce à une stratégie de marketing digital bien ficelée (publicité ciblée sur les réseaux sociaux et campagnes d’emailing personnalisées), elle a réussi à s’imposer rapidement sur le marché local et régional.

4. Les défis de la formation en marketing au Maroc

Malgré une évolution positive, des défis subsistent :

a) L’adéquation formation-emploi

Selon un rapport de la Banque mondiale, près de 30 % des jeunes diplômés marocains peinent à trouver un emploi. Cela souligne le besoin d’une meilleure coordination entre les établissements de formation et les besoins du marché.

b) La maîtrise des langues

Le marketing, notamment dans sa dimension digitale, repose souvent sur des contenus en français et en anglais. Beaucoup d’étudiants marocains manquent encore de compétences linguistiques suffisantes pour exceller dans ces domaines.

c) L’accessibilité des formations

Le coût élevé de certaines formations, notamment celles dispensées par des institutions privées ou à l’étranger, reste un frein pour de nombreux étudiants.

5. Les initiatives pour améliorer la formation en marketing

Plusieurs initiatives sont mises en place pour relever ces défis :

  • Partenariats public-privé : De grandes entreprises comme Maroc Telecom ou Attijariwafa Bank collaborent avec des universités pour créer des programmes sur mesure.
  • Incubateurs et hackathons : Des événements comme le Startup Weekend permettent aux étudiants de travailler sur des projets concrets, tout en étant encadrés par des professionnels.
  • Bourses d’études : Le gouvernement et certaines ONG offrent des bourses pour accéder à des formations avancées en marketing, y compris à l’étranger.

6. Perspectives d’avenir

Avec la montée en puissance de l’économie digitale et les réformes économiques en cours, le besoin en spécialistes du marketing ne fera qu’augmenter. Les entreprises marocaines, qu’elles soient locales ou multinationales, continueront à chercher des talents formés aux dernières tendances et technologies.

Par ailleurs, le développement des infrastructures technologiques, comme le projet de transformation numérique « Maroc Digital 2025 », ouvre de nouvelles opportunités pour les professionnels du marketing.

Conclusion

La formation en marketing au Maroc est un domaine en pleine expansion, porté par une économie en mutation et une demande croissante de compétences spécialisées. Toutefois, pour maximiser son potentiel, il est essentiel d’investir dans des programmes adaptés, de renforcer les compétences linguistiques et digitales des étudiants, et de promouvoir des partenariats stratégiques entre les secteurs public et privé. Le futur du marketing au Maroc dépendra de la capacité à former une génération de professionnels à la fois créatifs et techniquement compétents.

Dans un monde professionnel en constante évolution, le leadership et les soft skills se sont imposés comme des piliers fondamentaux pour réussir en management. Contrairement aux compétences techniques, les soft skills touchent à la personnalité, à la communication et à la capacité à interagir efficacement avec les autres. Mais qu’est-ce qui distingue un leader d’un simple manager ? Et comment développer les qualités nécessaires pour exceller dans un environnement professionnel complexe et multiculturel ?

I. Comprendre le leadership moderne : Qu’est-ce qui fait un bon leader aujourd’hui ?

Le leadership a évolué au fil des décennies. Alors qu’il était autrefois associé à l’autorité et à la prise de décisions unilatérales, il repose aujourd’hui sur des qualités humaines telles que l’écoute, l’empathie et la capacité à inspirer.

1. Les qualités essentielles d’un leader moderne

  1. Vision et clarté :
    Un leader doit avoir une vision claire et être capable de la communiquer efficacement à son équipe.
  2. Empathie et intelligence émotionnelle :
    Comprendre les besoins et les émotions des membres de son équipe est crucial pour instaurer la confiance.
  3. Adaptabilité :
    Face aux changements rapides dans le monde des affaires, un bon leader est flexible et prêt à ajuster ses stratégies.
  4. Prise de décision :
    La capacité à analyser des situations complexes et à prendre des décisions éclairées est une compétence essentielle.

2. Les différences entre un leader et un manager

  • Manager : Focalisé sur les processus, les résultats, et l’organisation.
  • Leader : Inspire et motive les équipes à atteindre des objectifs communs tout en favorisant l’innovation.

Exemple :
Un manager peut s’assurer que les employés respectent les délais. Un leader, quant à lui, motivera son équipe en leur montrant l’importance de leur travail et comment il contribue à un objectif global.

II. Les soft skills : Le cœur du leadership moderne

Les soft skills, également appelées compétences humaines, jouent un rôle central dans la réussite d’un leader. Contrairement aux compétences techniques, elles sont souvent plus difficiles à quantifier mais tout aussi cruciales.

1. Les soft skills les plus recherchées dans le monde du management

  1. Communication efficace :
    Un leader doit être capable d’exprimer ses idées clairement, que ce soit à l’oral ou à l’écrit.
  2. Pensée critique et résolution de problèmes :
    L’analyse des situations complexes et la recherche de solutions innovantes sont indispensables.
  3. Gestion du temps et des priorités :
    La capacité à hiérarchiser les tâches pour maximiser l’efficacité est cruciale dans un environnement rapide.
  4. Travail en équipe :
    Un bon leader favorise la collaboration et valorise la contribution de chaque membre de son équipe.
  5. Créativité et adaptabilité :
    Ces compétences permettent d’innover et de faire face à l’incertitude.

2. Pourquoi les soft skills sont-elles si importantes aujourd’hui ?

Dans un monde professionnel marqué par la digitalisation et la globalisation, les soft skills sont devenues des compétences différenciatrices. Elles permettent de :

  • Renforcer la cohésion d’équipe.
  • Gérer les conflits de manière constructive.
  • Favoriser une culture d’entreprise positive.

III. Comment développer son leadership et ses soft skills ?

1. Développer l’intelligence émotionnelle

L’intelligence émotionnelle (IE) est la capacité à identifier, comprendre et gérer ses propres émotions et celles des autres.

Étapes pratiques pour améliorer son IE :

  1. Pratiquer l’écoute active : Prenez le temps de vraiment comprendre les besoins de votre équipe.
  2. Apprendre à gérer le stress : Des techniques comme la méditation ou la respiration peuvent aider à rester calme sous pression.
  3. Demander du feedback : Sollicitez des retours pour identifier vos points faibles et les améliorer.

2. Renforcer la communication interpersonnelle

Une communication efficace repose sur :

  • La clarté dans l’expression des idées.
  • L’adaptation du ton et du style en fonction de l’audience.
  • La capacité à donner et recevoir des feedbacks constructifs.

3. Favoriser l’esprit d’équipe

Pour être un bon leader, il est important de créer un environnement où chacun se sent valorisé. Cela peut se faire en :

  • Encourageant la participation de tous.
  • Organisant des activités de team-building.
  • Célébrant les succès collectifs.

4. Apprendre à déléguer

Un leader efficace sait qu’il ne peut pas tout faire seul. Déléguer des responsabilités montre que vous avez confiance en vos collaborateurs, ce qui renforce leur engagement.

5. S’adapter aux défis du management multiculturel

Au Maroc, les équipes peuvent être composées de personnes issues de divers horizons. Cela demande :

  • Une sensibilité culturelle.
  • Une capacité à gérer des styles de travail différents.
  • Une ouverture d’esprit pour tirer parti de la diversité.

IV. Leadership et soft skills dans le contexte marocain

Le Maroc, en tant que pays en développement avec une économie dynamique, offre un contexte unique pour le leadership.

1. Les défis spécifiques au Maroc

  • Un marché du travail concurrentiel qui exige des leaders visionnaires.
  • Une jeunesse marocaine en quête de mentors et de modèles.
  • Une forte demande pour des compétences en gestion dans les secteurs clés comme l’industrie, la finance, et le digital.

2. Opportunités pour les leaders marocains

  • Jouer un rôle actif dans la transition numérique du pays.
  • Inspirer une nouvelle génération d’entrepreneurs.
  • Encourager des pratiques managériales inclusives et éthiques.

V. Étapes pour mettre en pratique ces compétences

1. Participer à des formations en leadership

De nombreuses institutions au Maroc offrent des programmes pour développer des compétences en leadership et soft skills.

2. Lire et se former en continu

Des ouvrages comme « Les 21 lois irréfutables du leadership » de John Maxwell ou « L’intelligence émotionnelle » de Daniel Goleman peuvent être d’excellents points de départ.

3. Rechercher des mentors

Un mentor expérimenté peut offrir des conseils précieux et guider votre progression en tant que leader.

4. Pratiquer au quotidien

Appliquez ces compétences dans votre environnement professionnel, que ce soit dans une réunion d’équipe ou dans la résolution d’un conflit.

Conclusion
Le leadership et les soft skills ne sont pas des talents innés réservés à quelques-uns. Ce sont des compétences que chacun peut développer avec le bon état d’esprit et les bonnes méthodes. Que vous soyez un étudiant en management ou un professionnel cherchant à progresser, investir dans ces qualités humaines vous ouvrira les portes d’un avenir prometteur. Alors, qu’attendez-vous pour commencer votre transformation en leader inspirant ?

Le management international est un domaine qui est à la fois passionnant et professionnellement prometteur, mais beaucoup de jeunes ne saisissent pas l’intérêt d’y faire des études. Voici les principales raisons qui vont vous convaincre d’opter pour un master management international.

Le management international répond aux enjeux de la croissance des échanges commerciaux à l’échelle mondiale. Cette discipline s’intéresse à toutes les dimensions de la gestion d’entreprise ou de projet dans un contexte interculturel (Marketing, finance, ressources humaines, droit, logistique…).

Faire un master en management international est l’une des meilleures options de formation qui s’offrent aussi bien aux bacheliers qu’aux licenciés. Si vous cherchez une spécialité qui vous garantirait des opportunités exceptionnelles de carrière, le management international est certainement le bon choix.

Renforcer votre employabilité

Un master management international est une formation généraliste qui dote les étudiants de compétences polyvalentes dans le domaine de la gestion. Il vous ouvre les portes de toutes les entreprises qui entretiennent des rapports commerciaux avec l’étranger quels que soient leurs secteurs d’activités. Ce diplôme est aussi la clé pour intégrer des institutions qui opèrent sur la scène internationale comme la banque mondiale, le fond monétaire international, les ministères des affaires étrangères…

En termes de métiers, les diplômés du master management international disposent d’un large éventail de possibilités de carrière : responsable de zone, acheteur international, commercial export, supply chain manager, conseiller en finance internationale, chef de projet international, directeur de développement international…

Maîtriser l’anglais

Le programme du master management international accorde une place centrale à l’enseignement de l’anglais qui est la langue mondiale du business. Certaines écoles se contentent de modules linguistiques destinés à renforcer les capacités écrites et orales des étudiants dans la langue de Shakespeare, notamment en anglais des affaires. D’autres vont plus loin en imposant l’enseignement de toute, ou partie de la formation en anglais.

Les lauréats du master management international acquièrent un niveau avancé en anglais qui les prédispose à communiquer aisément avec des partenaires et des interlocuteurs professionnels issus de tous les pays du monde. C’est un atout de poids pour des jeunes censés évoluer dans des environnements multiculturels où la communication se pratique essentiellement en anglais.

Saisir des opportunités de travail à l’étranger

Au cours de leur carrière, les diplômés en management international tissent des relations denses avec des partenaires à l’échelle planétaire. Ils en sortent avec un portefeuille de multinationales, de grands groupes commerciaux et industriels, de fonds d’investissements, d’institutions financières, d’organismes gouvernementaux et non gouvernementaux… Une mine d’or en termes de network et de capital relationnel.

Ce réseau de prestige ouvre aux titulaires d’un master management international des perspectives professionnelles internationales dans des postes de hautes responsabilités. Les jeunes cadres ambitieux dans ce domaine ont pu rejoindre des entreprises et des organisations de renommée mondiale en comptant sur leurs rapports privilégiés avec les décisionnaires et les personnalités influentes qu’ils ont côtoyés dans le cadre de leurs fonctions.

Faire le tour du monde

Evoluer en tant que manager international revient à faire des déplacements fréquents à l’étranger. Vos missions exigeraient des voyages réguliers dans plusieurs pays en vue de prospecter des marchés, chercher des partenaires, commercialiser des offres de biens et/ou de services, participer à des événements, conclure des accords…

Au-delà des enjeux professionnels, ces périples vous plongeront dans une aventure touristique extraordinaire où vous allez pouvoir découvrir d’autres cultures, explorer de nouveaux modes de vie et visiter des lieux que vous aviez toujours envie de voir.

Formation d’avenir, le master management international est à placer en priorité pour les jeunes qui souhaitent faire des études de gestion et de commerce. Les perspectives professionnelles et les atouts associés à ce choix sont nombreux, nous vous en avons présenté quelques-uns.

Les écoles de management à Casablanca attirent par la qualité de leurs formations, mais rares sont les établissements qui offrent aux étudiants un cadre para-académique en mesure de leur permettre de se développer sur le plan personnel. Comment choisir son école en fonction de la richesse de son programme parascolaire ?

En entreprise, un jeune diplômé ne peut pas compter sur ses seules compétences techniques. Le savoir est certes déterminant en vue de réussir sa carrière, mais il demeure une composante parmi tant d’autres qui sont indispensables en milieu professionnel. En effet, les employeurs ont tendance à accorder davantage d’importance aux qualités personnelles qui font souvent la différence en situation de travail.

Certaines de ces qualités sont innées au moment où d’autres peuvent s’acquérir à travers des activités extra-scolaires. La nature et l’ampleur de ces activités dépendent des établissements de formation qui, chacun, les conçoit à sa manière. En matière de choix de votre école de management à Casablanca, il est crucial de vous informer suffisamment sur ce volet de vos études car cela conditionne grandement votre profil à l’embauche.

Voici les trois dimensions des programmes parascolaires qui doivent absolument retenir votre attention afin d’être certain de sélectionner la meilleure école de management à Casablanca.

Le développement personnel

Parallèlement à la formation académique, le développement personnel de l’étudiant devrait avoir une place centrale dans l’approche pédagogique des écoles supérieures. Cela est particulièrement souhaitable, voire incontournable, dans le cas des établissements qui enseignent la gestion et le commerce parce qu’ils préparent des managers destinés à des postes de responsabilités et de prise de décision.

Les programmes de développement personnel s’intéressent à la dimension humaine du futur lauréat. Cela englobe l’attitude comportementale, le relationnel, la communication, la citoyenneté, l’associatif… La vocation de ces programmes est d’abord de permettre à l’étudiant de prendre conscience des exigences des entreprises en termes d’aptitudes personnelles, et ensuite de libérer ses potentialités afin d’en tirer profit dans un cadre professionnel.

Au niveau des programmes des écoles de management à Casablanca, plusieurs activités contribuent à l’épanouissement de l’apprenant et à la valorisation de son capital humain :

  • Les travaux du Bureau Des Etudiants – BDE : Ils peuvent être de différentes natures (événementielle, ludique, festive, managériale…).
  • Les activités para-pédagogiques : Elles prennent des formes variées (compétitions sportives, ateliers artistiques, concours de découverte des talents, conférences-débats…).
  • Les clubs et associations : Leur rôle est déterminant parce qu’ils renforcent les liens des étudiants avec la société civile à travers des actions à caractères social, humanitaire, politique…

Les soft skills

Les soft skills, traduits en français par compétences douces, correspondent aux qualités acquises en dehors des enseignements académiques. Ils visent les savoir-être et savoir-faire qui rendent un diplômé désirable sur le marché de l’emploi. Ils sont souvent explicitement cités sur les avis de recrutement parce qu’ils conditionnent obligatoirement l’accès au poste à pourvoir.

Les écoles de management à Casablanca accordent de plus en plus d’importance aux formations sur les soft skills, mais à des degrés qui demeurent très différents. Certaines d’entre elles en font une composante essentielle du programme, alors que d’autres se contentent d’actions ponctuelles sur ce registre. Quelle que soit la configuration adoptée, les modules de soft skills doivent cibler les principales compétences suivantes :

  • Le leadership
  • La résolution de problèmes
  • L’intelligence émotionnelle
  • La communication
  • La gestion du temps et des priorités
  • La gestion du stress…

L’employabilité

Pour un jeune diplômé qui atterrit sur le marché du travail, le degré d’employabilité est par définition très bas du fait de sa connaissance limitée de la vie active. Pourtant, s’il est suffisamment initié par son école de management à la pratique en entreprise, il peut envisager avec assurance ses premiers pas professionnels.

Les activités dédiées à l’employabilité au sein des écoles de commerce sont destinées à intensifier les rapports des futurs lauréats avec les entreprises et à multiplier leurs périodes d’expérimentation. Cette vision se concrétise par le biais de projets tutorés, encadrés par des professionnels, qui mettent les étudiants en posture de manager face à différents projets réels (élaborer un business plan, conduire une étude de marché, mener une campagne marketing…).

Le volet parascolaire est tout aussi important que la formation académique, il est surtout très valorisant sur le marché de l’emploi. Dans cet article, nous vous avons donné les critères de choix de votre école de management à Casablanca sur la base des activités de développement personnel.

Pour un licencié en gestion qui souhaite poursuivre des études de master, le choix n’est pas du tout évident. L’offre de formation est tellement abondante qu’il devient très difficile d’identifier la bonne filière. Pour vous aider à vous repérer, voici une sélection des meilleurs masters en management.

Le Master Marketing

C’est l’un des masters en management les plus convoités par les licenciés en raison de l’importance grandissante de la fonction marketing dans un contexte où la relation client devient la clé pour booster les ventes et augmenter le chiffre d’affaires. Décrocher un master marketing vous ouvre les portes de carrières de choix dans tous types d’entreprises : multinationales, grands groupes commerciaux et industriels, PME, agences publicitaires…

Le master marketing est une formation de haut niveau qui, en plus des fondamentaux du marketing, touche à plusieurs disciplines : stratégie, communication, statistiques, informatique, négociation commerciale, droit, logistique… Les meilleurs programmes contiennent aussi des modules transversaux comme la culture économique, la vie politique ou encore l’entrepreneuriat.

Master Comptabilité, Contrôle et Audit (CCA)

Le Master CCA convient aux étudiants qui souhaitent acquérir une expertise technique de pointe dans les domaines de la comptabilité et la finance. Au-delà des perspectives salariales très valorisantes qu’il garantit, ce parcours peut conduire à des professions libérales de prestige telles l’expertise comptable et l’audit.

Le contenu du programme du Master CCA est défini librement par chaque établissement, mais il porte généralement sur trois pôles d’enseignement : les modules de spécialité (comptabilité, droit, fiscalité, audit, contrôle de gestion, ingénierie financière…), les modules généralistes en gestion (théories des organisations, management stratégique, choix des investissements…) et les soft skills (communication, systèmes d’information, anglais…).

Master Management International et Logistique (MIL)

Parmi les masters en management qui ont pris de l’ampleur ces dernières années, le management international et logistique est sans doute le meilleur exemple. En effet, la mondialisation économique et la croissance exponentielle des échanges commerciaux interpays ont accentué les besoins en cadres capables de manager et gérer les activités à l’international des entreprises.

Le Master MIL vise à permettre aux diplômés de saisir l’environnement international des affaires dans toutes ses dimensions (institutionnelle, juridique, commerciale, humaine et technologique). Le programme pédagogique est axé sur différentes matières (Le commerce international, le management de la chaine logistique, la gestion des stocks, l’économie du transport, la gestion des opérations douanières, les achats et approvisionnements…).

Master Ressources Humaines (RH)

Les ressources humaines font partie des spécialités classiques et historiques des masters en management. De nos jours, la fonction RH est hissée au rang des départements stratégiques dont la mission conditionne la performance de toute entreprise. Les cadres doués en RH sont arrachés par les recruteurs et les bons profils deviennent une denrée rare sur le marché de l’emploi.

Un bon Master RH doit aborder tous les métiers et les enjeux liés à une gestion optimale des ressources humaines (Administration, formation, recrutement, rémunération, gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, management des talents, gestion des risques psycho-sociaux, audit social, législation du travail, coaching des managers…).

Master Finance d’Entreprise (FE)

La finance est l’une des carrières les plus prestigieuses que ça soit au Maroc ou à l’échelle internationale. Devenir financier, c’est vous projeter dans un métier porteur qui vous donne accès à des secteurs très élitistes : banques commerciales, banques d’affaires, sociétés de bourse, compagnies d’assurances, cabinets de conseil en plus des entreprises commerciales, industrielles et de services.

Le Master Finance d’entreprise offre aux étudiants une formation approfondie dans des disciplines pointues comme l’évaluation des entreprises, la consolidation en IFRS, le financement bancaire, les techniques de l’audit financier, la comptabilité approfondie, la finance internationale, le diagnostic financier des Groupes, la fiscalité des décisions stratégiques, la gestion de portefeuille…

Si vous êtes licencié ou titulaire d’un Bac+3 en gestion et que vous hésitez à choisir entre les masters en management offerts au Maroc, vous avez maintenant une nette visibilité sur les spécialités qui cartonnent. Encore mieux, vous pouvez identifier le meilleur contenu de la filière de master qui vous tente. A vous !

La qualité d’une école supérieure de management se mesure, entre autres, par la nature et le nombre d’accréditations qu’elle possède ainsi que par ses classements dans les palmarès internationaux. Ce sont des critères très importants en matière de choix de son école de commerce.

Face à une offre de formation pléthorique dans le domaine de la gestion et du commerce, les étudiants et les parents ont besoin de repères qualitatifs en vue d’identifier le meilleur établissement. Le choix devient encore plus difficile avec l’invasion de la communication digitale qui inonde les jeunes de messages publicitaires en provenance des business schools.

Tellement nombreuses, les écoles supérieures de management à Casablancaprétendent toutes ou presque proposer le programme idéal. Pour être certain de prendre la bonne décision, il est crucial de confronter les dires de ces établissements à l’appréciation neutre et externe d’institutions expertes chargées d’accréditer et de classer les écoles.

Les accréditions de qualité

Les accréditations sont des labels qui certifient qu’une école supérieure de management répond aux exigences d’un standard de qualité national, continental ou international. Nous vous en avons choisi deux qui conditionnent grandement la qualité des écoles de commerce marocaines.

  • La reconnaissance par l’Etat : Le plus haut degré d’accréditation à l’échelle nationale

La reconnaissance étatique au Maroc accorde aux diplômes d’une école supérieure l’équivalence avec les diplômes nationaux. Cela présente pour le lauréat de précieux avantages dont il faut retenir les deux les plus importants : accéder à la fonction publique et la possibilité de poursuivre des études doctorales au sein d’une université ou un institut de recherche relevant de l’Etat.

Pour obtenir cette reconnaissance ultime, les établissements privés doivent satisfaire à un cahier des charges très contraignant. Parmi les critères imposés, on note un effectif des étudiants qui ne doit pas être inférieur à 300 ; 60% des heures de cours doivent être assurées par des enseignants permanents dont 50% sont obligés d’avoir un doctorat, un ratio d’un cadre administratif pour 100 étudiants…

  • L’accréditation AABS : Le 1er baromètre des écoles de commerce africaines :

Considérée comme étant la plus prestigieuse consécration dans le domaine de l’enseignement du management au niveau du continent, l’accréditation AABS (African Association of Business Schools) est accordée suite à un processus d’évaluation long et fastidieux. Pour preuve, seuls 4 établissements ont pu décrocher ce sésame à date d’aujourd’hui dont une seule école supérieure de management à Casablanca, à savoir HEM Business & Engineering School.

Le référentiel AABS porte sur 11 normes : La pertinence pour le contexte africain ; la mission, la vision et la stratégie ; la gouvernance ; les ressources ; les étudiants ; le corps enseignant ; les relations externes ; le programme ; la recherche ; l’impact sur l’Afrique et la durabilité.

Les classements dans les palmarès internationaux

Les rankings mondiaux des business schools vous donnent une visibilité sur la perception de l’école de votre choix par des organismes internationaux. Parmi ces palmarès, deux sont particulièrement intéressants au regard de leurs méthodologies :

  • Eduniversal Best Masters Ranking :

Le classement Eduniversal des meilleurs masters se distingue par deux approches ; il évalue des formations et non des établissements et il permet d’avoir une visibilité par pays. Grâce à cet outil, vous pouvez avoir une visibilité par rapport aux programmes de master les plus appréciés au Maroc par les employeurs du corps de métiers concerné (Marketing, finance, audit, logistique…).

La méthodologie Eduniversal repose sur le croisement de trois critères : la notoriété de la formation, le salaire à l’embauche et la satisfaction des diplômés. La particularité de la démarche Eduniversal est qu’elle ne se contente pas des résultats obtenus à l’aide des questionnaires renseignés par les écoles et les lauréats, mais s’appuie sur une enquête menée par les consultants de l’agence sur les recruteurs, les salaires, les débouchés…

  • Classement Financial Times :

Très réputé à l’échelle mondiale, ce ranking évalue des écoles de management depuis 1999. Au total, le Financial Times publie annuellement cinq classements :

  • Le Global MBA-Ranking (janvier).
  • L’Executive Education Ranking (mai).
  • L’European Master’s in Management Programme Ranking (septembre).
  • L’Executive MBA Ranking (octobre).
  • L’European Business School Ranking (décembre).

Les classements du Financial Times examinent 15 à 20 critères regroupés dans quatre catégories : La progression de la carrière des diplômés, l’orientation internationale des programmes, la performance de recherche du corps enseignant et enfin la répartition équilibrée des sexes parmi les participants, dans le corps enseignant et dans la direction du programme.

Si vous êtes à la recherche d’une école supérieure de management à Casablanca, vous savez maintenant comment procéder pour être sûr de faire le bon choix. Dernier conseil : N’hésitez pas à demander aux écoles les justificatifs qui prouvent leurs accréditations et/ou leurs classements, c’est tout à fait votre droit !

Si vous hésitez sur le choix de votre formation supérieure, le master logistique et commerce international pourrait bien vous intéresser. Dans cet article, vous allez explorer les études et les horizons professionnels de ce domaine qui compte parmi ceux qui recrutent le plus au niveau national et à l’échelle internationale.

Un master logistique et commerce international offre de nombreuses opportunités de carrière dans un secteur vital pour le développement de l’économie mondiale. Le marché de l’emploi est très demandeur de jeunes cadres capables d’appréhender les enjeux de la mondialisation et de saisir la complexité croissante des pratiques commerciales internationales.

Les bacheliers et licenciés ont tout intérêt à diriger leur choix vers un parcours grande école ou un master logistique et commerce international. L’offre de formation dans ce domaine est portée par les grandes business schools reconnues aussi bien par le milieu universitaire que par le monde de l’entreprise.

Master logistique et commerce international : Le programme

Un programme de master logistique et commerce international porte à la fois sur des compétences techniques et des qualités managériales favorisant l’accès aux postes de responsabilités. Les profils de logistique et commerce international, visés par les employeurs, allient maîtrise des enseignements de la spécialité, et soft skills indispensables à tout salarié qui aspire à devenir dirigeant.

Les étudiants doivent ainsi maîtriser tous les aspects liés au management international et à la gestion logistique. Cela exige des savoirs pointus dans des disciplines variées telles l’économie du transport, l’organisation douanière, le supply chain management, la gestion des achats et des approvisionnements, la finance internationale, les réglementations des échanges internationaux…

Quant aux modules transversaux, ils sont orientés sur l’acquisition d’un capital culturel et d’un savoir-faire qui enrichissent le profil du diplômé et augmente son degré d’employabilité. Ce volet de la formation s’intéresse aux théories des organisations, aux institutions internationales, aux systèmes d’information décisionnels, au leadership, à l’entrepreneuriat…

Combinées aux acquis théoriques, les périodes d’expérimentation en milieu professionnel, communément appelées Stages, permettent à l’étudiant une initiation professionnelle et le plongent déjà dans son futur environnement de travail. Les stages annuels et la mission de fin d’études sont des opportunités exceptionnelles pour se confronter à la réalité de l’emploi et avoir du recul par rapport à la pratique en entreprise.

Il est important toutefois de noter que la recherche des stages incombe avant tout à l’étudiant lui-même. N’attendez pas systématiquement que votre école le fasse à votre place, elle peut vous aider certes, mais ne doit en aucune manière se substituer à vous dans cette tâche. En plus, ça vous initie à la recherche du premier job une fois diplômé !

Les débouchés après un master logistique et commerce international

Les lauréats du master logistique et commerce international sont qualifiés pour évoluer dans toutes les entreprises qui entretiennent des relations commerciales avec l’étranger quels que soient leurs secteurs d’activités ou tailles. Les possibilités de recrutement sont énormes si on considère que la part de ces entreprises a nettement augmenté sous le double effet de la libéralisation des échanges, et le développement spectaculaire du e-commerce.

Avec l’importance croissante de la logistique et du commerce international dans l’économie mondiale actuellement, l’obtention d’un master logistique et commerce international peut conduire à des carrières passionnantes et enrichissantes. En termes de métiers, cela se traduit par une diversité de débouchés :

  • Chargé de portefeuille clients à l’international.
  • Responsable import/export.
  • Supply chain manager.
  • Gestionnaire transport.
  • Acheteur international.
  • Chargé d’affaires.
  • Responsable de zone…

Après des années d’expérience, les profils séniors peuvent prétendre aux plus hauts postes de direction comme chef de zone export, directeur marketing international, directeur logistique, directeur de filiale, directeur import/export, directeur commercial, directeur des achats, consultant en commerce international…

Si vous étiez hésitant au départ quant à l’intérêt de faire un master logistique et commerce international, vous ne le seriez plus désormais. Comme vous l’avez constaté, cette formation ouvre les portes de carrières de choix avec à la clé des possibilités élargies d’embauche à l’étranger.

Faire une école de commerce à Casablanca se présente comme une excellente option pour les étudiants qui aspirent à internationaliser leurs parcours d’études depuis le Maroc. Plusieurs formes de mobilité s’offrent à vous, vous n’avez qu’à déterminer celle qui vous convient le mieux.

Dans un contexte d’emploi mondialisé, les lauréats des grandes écoles, en particulier des business schools, sont censés disposer d’un fort capital interculturel. Cela implique la maîtrise de plusieurs langues étrangères, l’ouverture sur des pratiques managériales internationales et l’accumulation d’un vécu académique et professionnel dans d’autres pays.

Pour les jeunes intéressés par des études de management dans la métropole économique du Royaume, il est crucial d’intégrer cette préoccupation dans le choix de la meilleure école de commerce à Casablanca.

Pourquoi est-il crucial d’avoir un profil multiculturel ?

Quand ils s’apprêtent à intégrer une école de commerce à Casablanca, les jeunes accordent peu d’importance à la dimension internationale de leur formation. Leur souci est souvent focalisé sur la filière qu’ils veulent étudier et le métier qu’ils souhaitent exercer une fois diplômés.

C’est une erreur fatale ! Que ça soit au Maroc ou ailleurs, les perspectives d’emploi sont beaucoup plus prometteuses si on est capable d’évoluer dans des environnements de travail cosmopolites. Une multinationale implantée au Maroc ne serait nullement prête de vous recruter si votre parcours de formation est de dimension purement locale.

Seriez-vous à même de saisir les enjeux d’un projet multilatéral qui mobilise des intervenants issus de plusieurs nations, de communiquer efficacement avec des interlocuteurs ne parlant que leurs langues natales, de représenter dignement votre entreprise à l’occasion de pourparlers et de négociations qui pourraient déboucher sur des contrats stratégiques pour votre employeur ?

Ce sont les bonnes questions à vous poser en amont de votre projet d’études supérieures, si vous voulez conférer une employabilité internationale à votre profil !

Quelles sont les différentes formes de mobilité internationale ?

L’ampleur internationale d’une formation se mesure par la diversité des possibilités d’échange proposées aux étudiants qu’il s’agisse de séjours d’études à l’étranger ou d’autres formes de partage qui favorisent l’immersion des étudiants dans des milieux académiques et professionnels de différentes cultures.

Certaines écoles de commerce à Casablanca ont pu se distinguer par leur avance en matière d’ouverture sur l’international. Elles ont ainsi mis en place plusieurs dispositifs destinés à renforcer l’acculturation de leurs diplômés. Parmi eux, on peut citer notamment :

  • La double diplômation :

Historiquement, c’est la formule la plus ancienne de collaboration entre les écoles de commerce à Casablanca et des business schools internationales. Elle consiste à délocaliser la formation du partenaire étranger au Maroc et à délivrer à l’étudiant le diplôme de ce dernier en fin de parcours.

Dans le cadre d’une co-diplômation, les deux écoles participent à la conception du programme pédagogique et un corps professoral commun aux deux établissements assure les cours. A la fin des études, le lauréat se voit remettre deux diplômes : Un diplôme marocain et un diplôme international.

  • Le semestre d’échange :

Dans le cadre de leurs accords de coopération avec des institutions internationales, certaines écoles de commerce à Casablanca donnent à leurs étudiants l’opportunité d’effectuer un semestre d’études à l’étranger. C’est une occasion inouïe afin de découvrir la culture d’un autre pays et d’enrichir son capital communautaire en rencontrant des étudiants venus de plusieurs continents.

Le semestre d’échange porte généralement sur les mêmes cours programmés par l’école d’origine, mais l’étudiant peut bénéficier d’autres modules et d’activités parascolaires propres à l’établissement d’accueil. Cette période de mobilité est prévue le plus souvent durant les deux dernières années de formation.

  • La parcours mi-Maroc mi-international :

C’est une formule de plus en plus pratiquée par lesécoles de commerce à Casablanca vu l’intérêt qu’elle présente aussi bien pour les jeunes que pour leurs parents. L’idée est de subdiviser le parcours grande école en deux cycles : le premier effectué au Maroc et le second à l’étranger. Par exemple, l’étudiant peut faire sa licence au pays et le master chez un partenaire étranger.

Pour les étudiants, ça permet de passer un séjour significatif à l’étranger et de s’imprégner suffisamment de la culture et du vécu à l’international. Pour les parents qui craignent d’envoyer leurs enfants à l’étranger immédiatement après le bac, cette formule les rassure puisque ces deniers vont partir à un âge où ils peuvent se prendre en mains.

Si vous visez l’international, une bonne école de commerce à Casablanca pourrait amplement vous aider à concrétiser votre objectif. Les possibilités d’échange et de poursuite des études à l’étranger sont suffisamment abondantes pour vous convaincre de démarrer votre parcours au Maroc. Juste pensez à bien vous renseigner sur cet aspect d’ouverture à l’international avant de décider de votre école supérieure !